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Les Phlobaires: Kultür et Philozofie appliquée
20 août 2008

Les Phlobaires ont testé pour vous: Le Sexe (Partie II)

HotVideoBienvenue, jeune apprenti(e). Nous allons aborder la sexualité des jeunes sous un angle purement scientifique et psychologique, avec une touche de poésie et pas mal d’astrologie, he oui, pourquoi pas ? Vous avez pas Vénus dans le Poisson, vous, peut être ? 

Bon. A l’heure des premiers émois du coooorps, le djeunz se retrouve confronté à la gente féminine / à la gente masculine (coche selon ta préférence !). Ses hormones explosent, si c’est un mâle, il tremble, sue, et essaie d’attirer l’attention de l’autre par des messages physiques, chimiques ou psychologiques, en se frottant frénétiquement à sa jambe, par exemple. Si c’est une femelle, elle se contentera de pousser des cris suraigus, d’effectuer une peinture faciale prononcée ainsi qu’une mise en valeur de ses attributs majeurs de séduction (les oreilles, les doigts de pieds, le sphénoïde (allez, tous sur Google !)). 

Prenant exemple sur les plus sérieux des mensuels scientifiques (Hot Video ou Gai Pied pour les zoms, Fan 2 ou Girls! pour les filles), nos cobay … nos djeunz se préparent alors à la plus terrible des épreuves : la séduction, première étape du grand processus de perpet … perpatu … de continuation en vie, pleine santé et avec tous les vaccins, de l’espèce (mais si, vous savez, avec les choux, les abeilles et les cigognes). 

En ce qui concerne le mâle, l’apprentissage est long, et nous pouvons distinguer plusieurs paliers. L’étape bouton : « han, tu suces ? ». L’étape gros lourd (parfois confondue avec l’étape bouton chez certains spécimens), constituée soit d’une profusion de poèmes, niaiseries et techniques baveuses de séduction crétine, soit d’un machisme débordant, avec marcel moulant, muscles, sans cerveau, mais avec scooter. Cette dernière catégorie se détachera bien vite du lot, pour aller s’échouer et s’enfermer dans une certaine catégorie de demoiselles. Après, selon le chemin choisi par le mâle, les étapes de la séduction sont sacrément variées, voire même remplacées par une attaque féminine de front. Parfois, le mâle aime les gladiateurs, mais étant donné que nous parlons de reproduction et de perpoti … de perpetuité de l’espèce, nous n’y ferons point allusion. 

Pour la femelle, à défaut d’apprentissage et d’organe viril, c’est souvent l’attente, qui est longue (quoique …). Entre « Fan 2 » et « Girls », la femelle n’a guère le temps de s’occuper du boutonneux ou du poèmique aigu qui sonne à sa porte (« tu suces, toi dont les yeux rappellent le plancton d’une piscine au coucher du soleil ? » attention, megamix !). En revanche, elle s’avère vite devenir hystérique à l’approche d’un lourd de deuxieme catégorie (un 10tonnes, si on veut jouer sur les mots, mouarf !). Phrase type : « il est beauuuu hiiiiiiiiiiiii ! ».

Mais attention, alors que le mâle est directement et ouvertement porté sur le cul dès l’apparition des premiers poils au bide, la femelle est parfois longue à la détente. « Beurk, il a voulu m’embrasser sur la joue ! ». Encore que certaines exceptions se démarquent du peloton (hmmm) pour s’échouer très vite dans les arguments convainquants ( ?) des 10tonnes. Vous suivez ? Moi j’ai du mal. En gros, on appelle ça des « pouffes », caractérisées par une absence totale de matière cérébrale, une hystérie particulièrement plus élevée que la moyenne, des habits fluos ne cachant pas ce qu’il faut, et 3cm minimum de maquillage sur la gueule. Allez avouez … elles vont bien avec les lourds, hein ?

En revanche, quand les femelles ont décidé que le sexe, c’était cool, vaut mieux pas les contredire, car, messieurs, elles peuvent être pires que vous. Et évitez de les traiter de coch****s, vous risqueriez de recevoir un coup du concombre fraichement acheté (ah les cochonnes … *SBAM*) . 

Bon. Généralisons un peu plus. Le mâle, en blouson de cuir ouvert sur ses pectoraux d’acier dégoulinants de sueur après ses 2heures quotidiennes de musculation, déclenche le processus chimique (voir figure 1) : le sourire bright. « Hi coquine ». La femelle, en pantalon taille-basse de chez Jenyfer, le string qui dépasse, le cerveau aussi artificiel que la peinture qu’elle a sur la gueule et le silicone qu’elle a dans les seins, y répond par une rougeur caractéristique au visage (voir figure 2), ainsi que par un « hiiiii », et un tortillement de sa féminité, d’autant plus visible si celle ci ne fait pas du 80A. 

S’ensuit alors un lechage de trogne ainsi qu’un frottage de chair que je ne vous détaillerai pas … Ce n’est pas notre sujet. Si ?

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Les Phlobaires: Kultür et Philozofie appliquée
  • Les Phlobaires: Kultür et Philozofie appliquée. Même si d'aucuns ont par le temps, essayé de nous égaler par le truchement de notre nom, nous tenons à vous dire que nous déclinons toute responsabilité si vous êtes déçus et que nous sommes bien mieux que
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